Au cours de sa jeunesse, il arrive de tomber sur les livres de certains écrivains, qui vous impressionnent tellement que leurs œuvres ne vous quittent jamais plus. Edwin Erich Dwinger, écrivain très célèbre sous la République de Weimar, qui fut, à côté de Werner Beumelburg, le principal écrivain du « nationalisme soldatique » (soldatischer Nationalismus) appartient aujourd’hui à la catégorie peu enviée des écrivains oubliés de l’entre-deux-guerres. Même si certains de ses livres ont été réédités, il y a quelques années, son nom ne dit plus rien à personne, y compris dans les rangs du néo-conservatisme néo-nationaliste, où, forcément, on ne lit plus ses livres. À tort ! (cliquer sur le lien pour lire la suite)
Ulli Baumgarten (texte issu de Junge Freiheit, n°23/1999, avec l’aimable autorisation de Robert Steuckers)